Vos licences VMware ont explosé ?

Voici pourquoi c’est peut-être le moment de moderniser votre infrastructure.

Une pression budgétaire qui accélère la réflexion

Depuis l’acquisition de VMware par Broadcom, de nombreuses entreprises font face à une hausse brutale et inattendue de leurs coûts de licences. La disparition des licences perpétuelles, l’imposition de forfaits obligatoires, et la transition vers un modèle d’abonnement ont bouleversé les prévisions budgétaires. Certaines organisations ont vu leur facture tripler d’une année à l’autre, sans gain de valeur technologique en retour. Ce contexte force les DSI à revoir leurs choix stratégiques. Faut-il continuer à absorber ces hausses, ou est-ce le bon moment pour enclencher une transformation plus structurelle de l’infrastructure TI ?

Rester sur du legacy coûte plus cher que d’évoluer

S’accrocher à une infrastructure traditionnelle — souvent centrée autour de VMware — revient aujourd’hui à consacrer une part croissante de son budget TI à maintenir l’existant. Ces environnements vieillissants sont coûteux à opérer, difficiles à faire évoluer, et comportent des risques accrus liés aux mises à jour repoussées ou aux failles de sécurité. Mais surtout, ils freinent l’innovation. Lorsqu’une organisation doit arbitrer entre stabiliser le passé ou investir dans l’avenir, c’est l’agilité d’affaires qui en souffre. Le statu quo devient alors un frein opérationnel autant qu’un fardeau financier.

Migrer vers le cloud : une réponse à la fois tactique et stratégique

La migration vers le cloud ne consiste pas à simplement “répliquer” l’existant ailleurs. C’est l’occasion de repenser l’architecture TI dans son ensemble, de rationaliser les actifs, de nettoyer les données obsolètes, et d’éliminer les redondances qui se sont accumulées au fil des ans. En s’appuyant sur une infrastructure infonuagique, les entreprises peuvent ajuster leur capacité informatique en temps réel — et ainsi réduire ou augmenter selon la saisonnalité ou les périodes de forte demande. Cela permet une consommation plus granulaire, alignée sur les besoins réels, et une répartition plus transparente des coûts à l’interne. Le passage d’un modèle CapEx à un modèle OpEx permet également d’éviter les investissements massifs et rigides en matériel et en licences, au profit d’un budget plus fluide, ajustable et plus facile à répartir selon l’utilisation réelle des ressources par les différentes unités d’affaires. Cette approche offre aussi la possibilité d’attribuer directement les coûts aux unités concernées, en fonction de leur consommation réelle, renforçant ainsi la responsabilisation financière et l’alignement entre TI et performance d’affaires.

Des résultats concrets, observables rapidement

Les organisations qui amorcent leur migration vers le cloud constatent généralement une réduction significative de leur coût total de possession (TCO). Moins de serveurs physiques, moins de pannes, moins de maintenance — mais plus de rapidité d’exécution, plus de résilience et une meilleure agilité pour livrer des projets stratégiques. Ce virage technologique permet aussi aux équipes TI de se dégager des tâches opérationnelles lourdes pour se recentrer sur des initiatives à valeur ajoutée : automatisation, cybersécurité, développement de nouveaux services numériques.

Transformer une contrainte en levier

Ce que la hausse des coûts VMware met en lumière, ce n’est pas seulement un changement tarifaire. C’est une alerte stratégique. Elle expose la dépendance à des technologies rigides, aux modèles économiques figés, et à une architecture qui n’évolue plus au rythme de l’organisation. Chez Cortex Génie Humain, nous accompagnons les moyennes et grandes entreprises dans des programmes de modernisation TI adaptés à leur réalité. Notre approche combine évaluation technique, gouvernance, et feuille de route claire pour vous permettre de reprendre le contrôle de votre infrastructure. Vous êtes concerné par la hausse des coûts VMware ?

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